Les recherches de Patrick LEGEMBRE Concerne principalement de maladies qui sont le lupus et le cancer du sein. Ces 2 maladies sont un réel problème pour les personnes souffrantes de nos jours. Il a donc orienté sa recherche sur un récepteur de mort nommé CD95 (Fas) et son ligand CD95L qui génèrent la progression de ces deux maladies.

Vous avez certainement déjà entendu parler du cancer, mais en ce qui concerne le lupus, peut être que vous n’en savez pas grand-chose. il s’agit d’une maladie chronique auto-immune. elle survient lorsque le système immunitaire s’attaque aux cellules de l’organisme et les détruit.

Pour faire plus simple, les cellules qui doivent normalement protégez votre corps, le détruisent. L’organisme fini donc par se battre contre lui-même. Le lupus touche de nombreuses parties du corps dont les articulations, la peau, les reins et le cœur.

Il peut engendrer ces symptômes : poussées de fièvre inexpliquées, troubles de la vision, douleurs et gonflements des articulations, et bien d’autres. Pour ce qui est du cancer du sein, Il y en a plusieurs types. 10 à 20 % d’entre eux sont particulièrement agressifs.

Cela est dû au taux de rechutes important, à un mauvais pronostic, une augmentation du risque de méta stases et à de faibles alternatives thérapeutiques. Cette explication est le fruit tes recherches de l’équipe de Patrick Legembre.

Grâce au marqueur du risque de métastases et de rechute, le cl-CD95L. « Le dosage du cl-CD95L chez les patientes pourrait ainsi permettre d’estimer lors du diagnostic, le risque que présente une patiente de développer une métastase et donc de rechuter.

Avec des analyses plus exactes, le combat contre le cancer est beaucoup plus efficace. L’équipe vise maintenant un travail d’amélioration de la prévention du risque métastasique dans le cancer du sein. Ces avancées permettront à de nouvelles solutions thérapeutiques de voir le jour.