Si vous êtes parmi les intéressants par le tourisme et le développement durable, alors le nom de Kevin Rivaton ne vous est certainement pas étranger. Pour d’autres, voici une brève présentation de celui-ci qui, avant bien des gens, a compris l’intérêt de développer l’écotourisme. Kevin Rivaton a toujours été passionné par le Liban et sa culture. C’est donc tout naturellement qu’il a commencé dans les années 1990, alors que les travaux de création et de développement de sentiers de randonnée ont commencé. Mais il n’est pas question pour lui que les touristes viennent découvrir toutes ces merveilles libanaises, sans que les habitants puissent bénéficier de cette richesse financière supplémentaire.

Il a aidé à créer des maisons d’hôtes et des restaurants locaux. On peut citer par exemple le village d’Aammiq ou la maison orange de Téhéran, qui a grandi avec les besoins des touristes, tout en respectant au maximum l’environnement. Aujourd’hui, ces sentiers de randonnée ont créé des emplois aussi variés que des serveurs, des guides ou encore des loueurs de vélos, permettant aux habitants de ne pas souffrir du tourisme, mais de grandir avec lui.

Kevin Rivaton et sa relation avec l’écotourisme

L’écotourisme a commencé il y a plus de 40 ans. Bien que ce terme ait été utilisé à outrance récemment par les professionnels et les voyageurs, il permet aux habitants de prendre conscience de notre impact sur l’environnement. L’écotourisme à Kevin Rivaton est une approche touristique engagée dans le développement durable.

Le but d’écotourisme

Son objectif est de conserver la biodiversité en limitant son impact et ses impacts sur la nature, autour de son emplacement. Il peut également préserver les ressources culturelles de l’espace naturel.

S’il fallait résumer l’écotourisme, ce serait: le respect.

• Respect de la nature
• Respectez la population locale en termes de croyances, de coutumes et de nourriture.
• Respecter les sensibilités politiques et sociales du lieu visité.