Alors que notre intérêt pour les enseignements du Bouddha s’intensifie, il n’est pas inhabituel de vouloir intégrer les concepts bouddhistes dans tous les aspects de notre vie, y compris le type de bijoux que nous portons. Les formes les plus courantes de bijoux bouddhistes portés par les hommes et les femmes sont des pendentifs bouddha représentant le Bouddha ou d’autres symboles bouddhistes de bon augure.

Dans le bouddhisme, on nous enseigne que les biens et objets extérieurs ne peuvent pas nous apporter un bonheur durable. Cependant, si nous achetons des articles du Dharma avec l’intention d’élever notre pratique, ce type de matérialisme pourrait être considéré comme une forme de moyen habile, car l’article peut nous rappeler de pratiquer plus de qualités spirituelles comme la compassion et la tolérance dans notre vie quotidienne. Puis, au fil du temps, notre pratique continue devient en fait une cause d’éveil et de bonheur éternel.

Bien que le matérialisme ne soit pas quelque chose que nous associerions normalement à la spiritualité, certains enseignants bouddhistes ont mis en garde leurs élèves contre les dangers de son entrée dans la pratique. Le maître bouddhiste tibétain, Chögyam Trungpa, a forgé le terme de «matérialisme spirituel» en écrivant le livre, Couper à travers le matérialisme spirituel. Il a expliqué en détail combien de pratiquants font l’erreur d’utiliser la spiritualité pour renforcer leur individualité et leur compréhension de l’ego. Du coup, notre pratique spirituelle qui vise à réduire notre égocentrisme ne semble que l’alimenter, car l’ego a un moyen de tout tourner à son avantage. Cela se produit plus facilement que nous ne le pensons: cela peut prendre la forme d’une grande fierté dans nos expériences spirituelles, d’assister aux enseignements les plus élevés d’enseignants célèbres simplement pour dire que nous y étions, ou de penser que nous sommes spirituels simplement à cause de l’attirail spirituel que nous entourons. nous avec.

Bien que le matérialisme ne soit pas quelque chose que nous associerions normalement à la spiritualité, certains enseignants bouddhistes ont mis en garde leurs élèves contre les dangers de son entrée dans la pratique. Le maître bouddhiste tibétain, Chögyam Trungpa, a forgé le terme de «matérialisme spirituel» en écrivant le livre, Couper à travers le matérialisme spirituel. Il a expliqué en détail combien de pratiquants font l’erreur d’utiliser la spiritualité pour renforcer leur individualité et leur compréhension de l’ego. Du coup, notre pratique spirituelle qui vise à réduire notre égocentrisme ne semble que l’alimenter, car l’ego a un moyen de tout tourner à son avantage. Cela se produit plus facilement que nous ne le pensons: cela peut prendre la forme d’une grande fierté dans nos expériences spirituelles, d’assister aux enseignements les plus élevés d’enseignants célèbres simplement pour dire que nous y étions, ou de penser que nous sommes spirituels simplement à cause de l’attirail spirituel que nous entourons. nous avec.